1. Principe de l'ATPmétrie
a. Collecte d'échantillons
- Le drone est équipé d'un dispositif de prélèvement (par exemple, une pompe pour l'eau ou un bras robotisé pour les surfaces).
- Il peut survoler des zones ciblées (lacs, champs, toits, etc.) pour collecter des échantillons.
b. Mesure de l'ATP
- Les échantillons sont ensuite analysés à l'aide d'un luminomètre, qui mesure la lumière émise lors de la réaction entre l'ATP et un réactif chimique (luciférine/luciférase).
- Certains drones peuvent être équipés de capteurs en temps réel pour mesurer l'ATP directement sur le terrain.
c. Cartographie et analyse
- Les données recueillies sont géolocalisées et utilisées pour créer des cartes de la biomasse microbienne.
- Ces cartes aident à identifier les zones à forte activité biologique ou à risque de contamination.
3. Applications
- Environnement : Surveillance de la qualité de l'eau (lacs, rivières, océans) ou des sols.
- Agriculture : Analyse de la santé des sols et optimisation des pratiques culturales.
- Industrie : Contrôle de la contamination microbienne sur des surfaces (toits, panneaux solaires, etc.).
- Recherche scientifique : Étude des écosystèmes microbiens dans des zones reculées.
2. Utilisation d'un drone pour l'ATPmétrie
Les drones peuvent être équipés de capteurs ou de systèmes d'échantillonnage pour collecter des données ou des échantillons dans des zones spécifiques. Voici les étapes clés :